Le Dr Supakit Sirilak, directeur général du département des sciences médicales du ministère de la Santé publique a déclaré : "Le Département des sciences médicales enquête actuellement sur l'exactitude des informations et sur le laboratoire qui a décodé la souche C.36.3. Ce que nous savons jusqu'à présent, c'est que la variante a été signalée parmi un groupe de touristes égyptiens qui étaient entrés en quarantaine d'État en Thaïlande, ce qui a donné lieu à la première détection de la variante en Thaïlande. Elle a été trouvée en quarantaine, sans exposition au grand public. Cette variante n'est pas apparue en Thaïlande, n'a pas muté en Thaïlande, n'a pas eu de diffusion publique en Thaïlande et ne provient pas d'un ressortissant thaïlandais. Par conséquent, l'appeler la "variante thaïlandaise" est incorrect."
"À l'heure actuelle, rien ne permet de penser que la variante est plus transmissible, qu'elle a des conséquences plus graves pour la santé ou qu'elle rend la vaccination moins efficace. Public Health England mène des essais en laboratoire pour étudier et enquêter sur l'origine de la souche." Le directeur général a conclu.
TPN media note que ce n'est pas la première fois que les médias étiquetant une variante de Covid-19 après un pays a causé un problème, avec le ministère de la technologie de l'Inde demandant aux entreprises de médias sociaux de supprimer toute déclaration indiquant "India Variant" au lieu de son nom scientifique.
Source et article complet; https://thepattayanews.com/2021/05/28/t ... id-strain/