Pattaya Thaïlande

WhatsApp va exclure les utilisateurs qui ne veulent pas livrer leurs données à Facebook :
https://www.bfmtv.com/tech/whats-app-va ... 60250.html

Un deuxième article pour les nomophobes qui se sentent concernés par le problème et veulent en savoir plus :
https://www.lebigdata.fr/whatsapp-oblig ... c-facebook

Facebook et Youtube effacent des contenus de Donald Trump, Twitter suspend son compte
https://www.lefigaro.fr/flash-eco/twitt ... e-20210106
https://www.lemonde.fr/pixels/article/2 ... 08996.html


Ce que moi j'en retiens :

Cette nuit où Facebook et Twitter ont fait changer le principe de liberté d'expression :
https://trends.levif.be/economie/high-t ... 77587.html



Avis perso (sur la forme, pas sur le fond) :
J'ai toujours du mal avec ces plateformes qui ont la volonté de publier de l'information à la vue de la terre entière
mais s'autorisent à censurer sans décision de justice.

Oui, même Trump doit pouvoir dire les pires atrocités (enfin rien n'empêche d'avoir un minimum de mots clefs censurés quand même)
à la justice ensuite de le condamner ensuite pour ces propos.


Au début, internet était un endroit de libre expression.

Depuis, surtout avec toutes les micro-communautés, c'est devenu l'endroit où on peut le moins s'exprimer publiquement, tellement ça dégouline de bien-pensance, se cachant derrière des pseudos valeurs, soit disant défenseurs de la liberté d'expression.
Chez les GAFAM (car internet comme à se résumer à eux), on se croirait de plus en plus en Chine.

Si t'es pas homo, t'as pas le droit de parler de ... (ni faire de l'humour dessus)
Si t'es pas une femme, t'as pas le droit de parler de... (ni faire de l'humour dessus)
Si t'es pas noir, t'as pas le droit de parler de... (ni faire de l'humour dessus)
Si t'es pas musulman, t'as pas le droit de parler de... (ni faire de l'humour dessus)
Si t'es salop de mâle blanc hétéro, alors t'as surtout le droit de fermer ta gueule.

Traduction pour les gens qui ont une vie sociale (donc ne passent pas leur temps sur les "réseaux sociaux") :

Pas mal de youtubeuses/instagrammeuses et autres "influenceuses" ont des pages "only fans"
c'est à dire des pages "réservées aux fans" (bref des pages "privées") accessibles uniquement à ceux qui paient.
Et majoritairement, on y trouve du contenu porno (enfin ça commence par de l'érotique, puis...).

(c'est super, surtout pour la famille, de voir la petite ado inconnue à petite star d'internet puis à pute qui se fait déglinguer,
heu pardon, je voulais dire "hardeuse", car se baiser pour de l'argent c'est un métier respectable, de salubrité et d'intérêt public...)

Vif débat après la fermeture du compte Twitter personnel de Donald Trump
https://www.lemonde.fr/pixels/article/2 ... 08996.html

Première mondiale, la fermeture du compte d’un président en exercice suscite des avis partagés aux Etats-Unis et au-delà.


« Est-ce que, désormais, les fournisseurs d’électricité vont couper le courant à Trump ?
Va-t-on lui couper l’eau ? Est-ce qu’il a encore le droit d’avoir le câble ? »

l’avocate Sydney Powell, également bannie de Twitter, parle de « fascisme ».





François Ruffin sur Twitter :
"Trump, c'est pas ma tasse de thé. Mais la fermeture, désormais définitive, de son compte par Twitter me paraît scandaleuse.
Doit-on déléguer notre liberté d'expression aux géants de la Silicon Valley ?
Demain, ce sera pour nous tous, cette censure numérique, et privée."




Derrière la suspension de Donald Trump sur les réseaux sociaux, des questions sur la régulation de la parole publique par des sociétés privées
https://www.lefigaro.fr/secteur/high-te ... s-20210109

Le compte du président des États-Unis, qui était son principal canal de communication, est l'un des plus influents des États-Unis avec 88 millions d'abonnés.





« La régulation du débat public par les principaux réseaux sociaux au regard de leurs seuls CGU (conditions générales d’utilisation), alors qu’ils sont devenus de véritables espaces publics et rassemblent des milliards de citoyens, cela semble pour le moins un peu court d’un point de vue démocratique. »

Ca commence à prendre de l'ampleur,
quelques articles complémentaires (d'hier et de ce matin, par ordre de parution) pour ceux que ça pourrait intéresser :




Facebook et Youtube effacent des contenus de Donald Trump, Twitter suspend son compte :
https://www.lefigaro.fr/flash-eco/twitt ... e-20210106

Twitter et Facebook suspendent les comptes de Donald Trump après les violences à Washington
https://www.lemonde.fr/pixels/article/2 ... 08996.html

Twitter suspend « de manière permanente » le compte personnel de Donald Trump :
https://www.lemonde.fr/pixels/article/2 ... 08996.html

Twitter suspend le compte de Donald Trump de façon permanente
https://www.lefigaro.fr/secteur/high-te ... e-20210109

En plus du compte de Donald Trump, Twitter ferme des centaines de comptes liés à QAnon :
https://www.lemonde.fr/pixels/article/2 ... 08996.html

Twitter, Facebook, Twitch, Snapchat... Sur quels réseaux Donald Trump est-il bloqué et pour combien de temps ?
https://www.lefigaro.fr/secteur/high-te ... s-20210108





Je crois qu'il y a un début de prise de conscience de la puissance démesurée des GAFAM,
même les "idiots utiles" qui se réjouissait hier encore, on fini par comprendre aujourd'hui que c'est justement le principe de la liberté d'expression.
Il faut être capable de lire les avis des personnes qui ne pensent pas pareil,
et si on en n'est pas capable, c'est le début du fascisme (on voit en Chine ce que ça donne).

Google, Apple et Amazon bloquent le réseau conservateur "Parler"
https://www.lefigaro.fr/secteur/high-te ... r-20210110



AWS (Amazon) refuse d’héberger l’application "Parler" déjà bannie par Apple et Google
https://www.lebigdata.fr/parler-aws-apple-google


Extrait :
L’application ” Parler “, massivement utilisée par les partisans de Donald Trump, est bannie par les GAFAM suite à l’assaut du Capitole des États-Unis.
Accusé de ne pas avoir modéré les messages d’incitation à la violence, le réseau social a été supprimé des boutiques d’application Google Play Store et Apple App Store.
À présent, Amazon Web Services (AWS) refuse de continuer à l’héberger sur son Cloud.
Faut-il limiter le pouvoir des GAFAM ?


On nage en pleine science fiction,
si on ne gueule pas maintenant,
dans 2-3 c'est la moindre critique de l'un des GAFAM qui nous voudra la bannissement complet
(une sorte de crise de lèse majesté, mais sans passer devant un juge ni pouvoir se défendre).


Hum, ça sent bon la dictature socialo-communiste ("c'est pour le bien commun") à la chinoise...