PATTAYA, Thaïlande – Les habitants de Pattaya se sont réveillés face à d'importantes inondations après les fortes pluies de la nuit dernière qui ont submergé les rues de la ville, provoquant des perturbations de la circulation et des dégâts matériels. Les autorités locales ont signalé que les systèmes de drainage étaient saturés, en particulier dans les zones basses, alors que le niveau de l'eau continuait de monter dans la matinée.
Le département météorologique thaïlandais (TMD) a averti que de fortes pluies persisteront, le typhon « Kalmaegi » devant apporter de nouvelles précipitations à Pattaya et à la côte est du pays du 6 au 9 novembre. Se déplaçant actuellement au-dessus du Vietnam et du Laos, Kalmaegi devrait s'affaiblir et se transformer en dépression avant d'atteindre le nord-est de la Thaïlande. Cependant, ses bandes pluvieuses périphériques risquent d'affecter les provinces de l'est, notamment Chonburi et Pattaya. À Pattaya, les autorités ont travaillé sans relâche toute la nuit pour gérer les inondations et assurer la sécurité publique. Lors d'un incident, un conducteur a ignoré les signaux d'avertissement et a insulté les agents en tentant de traverser les eaux, finissant par s'embourber, moteur calé. Les autorités municipales, la police de Pattaya et les volontaires locaux ont œuvré de concert toute la nuit pour venir en aide aux habitants et maintenir l'ordre, faisant preuve de dévouement et de résilience dans des conditions difficiles.
Les autorités ont exhorté les résidents et les touristes à prendre des précautions, à éviter de circuler dans les rues inondées et à suivre les bulletins météorologiques et l'état du trafic. Il est également conseillé aux agriculteurs de protéger leurs cultures des dégâts potentiels causés par les fortes pluies persistantes.
Article original, https://www.pattayamail.com/news/heavy- ... 6-9-525024
Je me souviens de périodes de cinq mois (Novembre à Mars) sans une goutte de flotte à Pattaya. À l'époque, j'avais un voisin italien qui m'a dit un jour "quand est-ce qu'il pleut ici ?". Il n'en revenait pas, lui qui avait pourtant vécu six ans au Brésil, n'avait jamais connu une pareille sécheresse 